Ce projet développe une synergie internationale entre l’industrie du film d’animation et celle de la bande dessinée. Depuis 2008, l’EPAC organise des échanges d’étudiants avec l’Asie ainsi que des projets internationaux. Ainsi, les étudiants des écoles et universités ont eu travaillé sous divers projets tels que les films d’animation « Time Hunter » et « Phantom City ». L’EPAC a des relations avec d’autres universités telles que l’université Ming Chuan University of Taïwan, National Taiwan University, Tapei County, Taiwan; National Pingtung University of Education (Taïwan), l’Institut St-Luc de Bruxelles, l’Université de Cracovie pour ne citer que ceux-ci.

Le projet permet une approche culturelle très enrichissante. Par définition, la Suisse est un pays multiculturel et ouvert à l’extérieur de part ses 4 langues nationales, ses traditions intra-cantonales et son ratio (densité) étrangers/ population l’un des plus hauts d’Europe. Nous attirons de ce fait de grandes multinationales sur notre territoire par notre ouverture au monde, notre fiscalité attractive, la stabilité du franc suisse et notre savoir-faire.

Le canton du Valais est un avant-gardiste en matière d’hôtellerie. D’ailleurs, sa principale source de revenu est le tourisme. Par conséquent, il a cultivé une proximité avec les étrangers et développé un label « valais excellence » allant dans ce sens.

En effet, la société globalisée actuelle, encourage de plus en plus les étudiants à découvrir d’autres horizons, pour son aspect traditionnel, mais aussi pour s’inspirer et ainsi développer la créativité des futurs artistes de demain. L’epac participe à cet effort d’ouverture du Valais vers d’autres horizons culturels. L’epac aimerait donc faire partie de cet effort d’excellence et de promotion de l’image du Valais à l’étranger.

Pour autofinancer, un tel projet de manière durable il faudrait obtenir des fonds à hauteur de CHF 18’000.-. Par exemple, le coût pour 5 étudiants suisses allant à l’étranger durant un mois est d’environ 15’400 (logement et déplacement compris). Avec un tel budget on pourrait renouveler cette expérience et développer un réseau international qui serait bénéfique pour les étudiants.