Imaginay Landscapes III – Incredible Cities

Imaginary Landscapes III – Incredible Cities

L‘EPAC a le plaisir de vous inviter au vernissage de l‘exposition « Imaginary Landscapes» le 5 Septembre à 18h, dans le cadre de la TRIENNALE d’art contemporain 2017.

Paysages d’outre-espace ou mégalopoles futuristes ; instantanés d’une histoire perdue ou d’une réalité qui reste à découvrir, la 3e édition du concours invite à rêver autrement le monde qui nous entoure. Des artistes du monde entier ont ouvert les portes de l’imagination pour mieux réinventer l’horizon et transformer celui de Saxon à l’occasion de la TRIENNALE !

Créé à l’instigation de la direction de l’EPAC, Imaginary Landscapes propose aux étudiants des différentes universités partenaires, de nous inviter dans des paysages tour à tour oniriques, dystopiques ou tout simplement irréels. Puisque l’imagination ne connaît pas de frontière, les œuvres ainsi produites sont ensuite exposées à travers le monde, grâce à un réseau de galeries et musées allant de Taïwan R.O.C. à l’Europe en passant par la Suisse.

l‘Exposition se situe à l’EPAC, route du village 39
et au Chemin du Vieux Saule à Saxon.

Vernissage à l‘EPAC le 05.09.2017 à 18h.
Finissage à l‘EPAC le 20.10.2017 à 18h30.

Plus d’informations sur:
www.epac.ch / www.imaginary-landscapes.com

Synergie Internationale

Ce projet développe une synergie internationale entre l’industrie du film d’animation et celle de la bande dessinée. Depuis 2008, l’EPAC organise des échanges d’étudiants avec l’Asie ainsi que des projets internationaux. Ainsi, les étudiants des écoles et universités ont eu travaillé sous divers projets tels que les films d’animation « Time Hunter » et « Phantom City ». L’EPAC a des relations avec d’autres universités telles que l’université Ming Chuan University of Taïwan, National Taiwan University, Tapei County, Taiwan; National Pingtung University of Education (Taïwan), l’Institut St-Luc de Bruxelles, l’Université de Cracovie pour ne citer que ceux-ci.

Le projet permet une approche culturelle très enrichissante. Par définition, la Suisse est un pays multiculturel et ouvert à l’extérieur de part ses 4 langues nationales, ses traditions intra-cantonales et son ratio (densité) étrangers/ population l’un des plus hauts d’Europe. Nous attirons de ce fait de grandes multinationales sur notre territoire par notre ouverture au monde, notre fiscalité attractive, la stabilité du franc suisse et notre savoir-faire.

Le canton du Valais est un avant-gardiste en matière d’hôtellerie. D’ailleurs, sa principale source de revenu est le tourisme. Par conséquent, il a cultivé une proximité avec les étrangers et développé un label « valais excellence » allant dans ce sens.

En effet, la société globalisée actuelle, encourage de plus en plus les étudiants à découvrir d’autres horizons, pour son aspect traditionnel, mais aussi pour s’inspirer et ainsi développer la créativité des futurs artistes de demain. L’epac participe à cet effort d’ouverture du Valais vers d’autres horizons culturels. L’epac aimerait donc faire partie de cet effort d’excellence et de promotion de l’image du Valais à l’étranger.

Pour autofinancer, un tel projet de manière durable il faudrait obtenir des fonds à hauteur de CHF 18’000.-. Par exemple, le coût pour 5 étudiants suisses allant à l’étranger durant un mois est d’environ 15’400 (logement et déplacement compris). Avec un tel budget on pourrait renouveler cette expérience et développer un réseau international qui serait bénéfique pour les étudiants.

Imaginary Landscapes II

Suite au succès d’Imaginary Landscapes I, la fondation séquence à renouvelé son soutien à la direction de l’Epac, Ecole professionnelle des arts contemporains, Saxon, Valais, Suisse, qui avais crée un nouveau concours artistique international en collaboration avec le MOCA, Musée d’art Contemporain, Taipei, Taïwan,  sous le titre de:

Imaginary Landscapes II – Quête Immortelle – nouveaux espaces et codes – le post humain



Un jury international s’est réuni en octobre 2013 pour sélectionner les meilleures œuvres, qui sont exposées actuellement au MOCA, MTR, de Taipei du (9.11.2013 au 22.12.2013.) 

En 2014, l’exposition sera présentée à la Promotion gallery, ASP, Cracovie, Pologne et ensuite à la Galerie du Crochetant,Monthey, Suisse, durant le Symposium Pi pour finalement être présenté dans le cadre des Labos Utiles du Lieu Unique à Nantes, France.

Le concours international Imaginary Landscapes crée des plateformes sur des sujets brûlants qui concernent notre société. Il met au centre de son projet les relations entre l’homme et la machine. Étant conscient que nous avons de plus en plus besoin d’une vision moderne pour comprendre ce monde interconnecté, d’une complexité vertigineuse, la direction de l’EPAC a activement contribué à connecter des lieux à travers le monde pour des rencontres à grande échelle autour de ces nouveaux espaces virtuels et codes. L’humain se trouve aujourd’hui dans une relation totalement nouvelle par rapport à lui-même et aux nouvelles technologies. Cette nouvelle posture nécessite des conceptions sociologiques, éthiques et culturelles renouvelées. 

Ce projet génère des connexions internationales entre universités, musées, lieux dédiés à l’art, à la science et à la philosophie.

http://www.imaginary-landscapes.com/

Les Écailles du Dragon

La Fondation Séquence édite un livre sur les performances de l’artiste Innyang E.H. Low, comme le dragon géant qu’il a réalisé en septembre 2011 pour les 10 ans de l’EPAC à Saxon.

Innyang Low est l’un des meilleurs dessinateurs de dragon chinois du monde. Le maître de son art a été son grand-père qui est considéré comme le meilleur dessinateur de dragons de Taiwan. D’origine singapourienne et citoyen suisse, Innyang a travaillé dans les effets spéciaux en Californie et dans de nombreux pays asiatiques. Il est arrivé en Suisse il y a plus de 20 ans, attiré par les montagnes du Valais qui lui font penser aux crêtes d’un dragon. Depuis 1995, il travaille comme professeur et directeur outre-mer de l’epac qu’il a contribué à développer et à ouvrir vers l’Asie.

La base de son art est un questionnement sur le mouvement. Au-delà de la simple performance, Innyang Low restitue le rythme primordial et les mouvements vitaux qui sous-tendent l’univers, selon les principes de la philosophie taoïste. La rapidité d’exécution de l’œuvre est proportionnelle à la clarté de l’image mentale préformée. Inn-Yang s’intéresse moins à l’interprétation de la réalité qu’à la nécessité intérieure qui anime son geste. Comme l’écrit Frank Popper, théoricien de l’art cinétique parisien: «Les œuvres d’Innyang Low répondent à la fois à la tradition cinétique qui se veut annonciatrice de l’art technologique et virtuel et au courant cinétique qui met l’accent sur l’énergie vitale».

Le Dragon figurant sur l’ œuvre gigantesque produite à Saxon, de 16 mètres sur 20, est une créature mythologique, un symbole universel et pacificateur, comme le traduit l’artiste, il est aussi le symbole du lien l’unissant avec l’EPAC et tout ceux qui la fréquentent dans le monde, Suisse, Europe, Chine, Taïwan, USA, Nouvelle-Zélande…, toute cette communauté que nous voulons remercier.

Afin de financer l’édition du livre, la fondation et l’artiste vous proposent pour CHF 100.-, de devenir propriétaire d’une écaille de dragon. Nous ne parlons pas de celle appartenant à l’un de ces géants qui peuplaient la terre il y a plus de 65 millions d’années, mais d’un morceau numéroté d’une œuvre forte et unique. La toile sera virtuellement découpée en 200 parts et le dragon sera conservé, intact, à l’EPAC dans une boîte spécialement créée dont on peut découvrir ci-dessous une maquette. La liste des propriétaires figurera dans le livre avec leur photo ou logo.

Contribution demandée pour l’impression et l’édition du livre: CHF 21 550.-




Liens vers les vidéos des performances:

INFINITUDES Finhaut 2014

Dragon – EPAC

Vue d’Hélicopter

 

Maquette de la boîte de conservation de l’oeuvre.

Symposium PI

Séduite par le projet, plusieurs personnalités issues du tissu culturel valaisan se sont fédérées autour de la Fondation Séquence et ont proposé une manifestation autour de la culture numérique : PI. – www.symposium-pi.ch

Paysages imaginaires à la frontière de l’art et de la technologie

“Dans sa quête perpétuelle d’amélioration, dont la réalité prend forme à partir d’un imaginaire à la fois artistique et scientifique, l’homme se retrouve aujourd’hui dans une relation à la technologie et à lui-même qui nécessite de repenser en permanence les domaines de l’éthique, de la sociologie, de la culture et de l’art.”

Le Symposium PI était une manifestation de 3 jours, axée sur l’art et les technologies émergentes. Les regards de scientifiques, d’artistes transmédia, de concepteurs de jeu vidéo ainsi que de personnalités de l’art, de la culture et de la recherche universitaire s’y sont croisés autour de la question du rapport de l’homme à la technologie dans un univers numérique en constante mutation.

Expositions, projections, conférences, tables rondes, game jam, présentations technologiques, rencontres et ateliers de création ont irrigué cette idée de convergence des possibles et des devenirs qui se trame derrière cet événement. Cet événement a donné suite à la biennale internationale d’art “Imaginary Landscapes”, initiée par l’EPAC, Ecole Professionnelle des Arts Contemporains à Saxon en Suisse et le MOCA, Musée d’Art Contemporain de Taipei à Taïwan (R.O.C).

PI comme Paysages Imaginaires, PI comme le chiffre π, nombre univers aux décimales infinies. Le Symposium PI as fait surgir des perspectives réelles et irréelles afin de nous ouvrir à ces nouveaux espaces et codes, à ces nouveaux paysages et territoires imaginaires de l’ère digitale.